Les deux journalistes togolais manipulés par des officines contre le pouvoir ont été remis vendredi soir en liberté.
Ferdinand Ayité de L’Alternative et Joël Egah de Fraternité avaient été arrêtés le 10 décembre après des plaintes de deux ministres pour des propos tenus dans une émission diffusée sur internet.
Grace au Président de la république, ils ont été libéré et placés sous contrôle judiciaire. Ils savent donc comment se tenir désormais afin d’éviter tout autres ennuis.
Contrairement aux ragots diffusés sur les réseaux sociaux, ces deux journaleux sont poursuivis sur la base du code pénal comme précise le procureur de la République Talaka Mawama.
Amnesty International qui ne laisse pas passer l’occasion de s’attaquer au regime du président Faure avait déjà dénoncé la détention arbitraire des deux journalistes et exigé leur libération immédiate. Le peuple togolais continue à se demander si au Togo se trouve une juridiction dénommée « Amnesty International ».
Les deux journaux l’Alternative et Fraternité sont donc avisés que force reviendra toujours à la loi et que ce ne sont pas les jérémiades des pseudo organisations qui viendront lire le droit à la place des togolais.
