L’élève qui a récemment poignardé à mort sont enseignant aurait été jugé en catimini.
On a beau paraphrasé le Chef de l’Etat en disant que la vérité vient d’en haut, et la rumeur d’en bas, il est toutefois difficile de nier qu’il n’y pas de fumée sans feu.
L’affaire du meurtre du jeune professeur de mathématique en cours d’intégration (ECI) fait couler beaucoup d’encre et de salive, et entre vérité et rumeur, il n’est pas aisé de faire de se situer. Cependant, une source proche de la famille de Bissi Ngosso Brice, l’élève en classe de 4ème espagnole au lycée classique de Nkolbisson, qui avait poignardé mortellement son professeur, fait état de ce que la justice aurait déjà rendu son verdict sur cette affaire macabre.
Selon elle, le garçon de 17 ans aurait écopé en tout et pour tout d’une peine de trois mois d’emprisonnement ferme. Toutefois, ces allégations devraient être pris avec des pincettes d’autant plus qu’il est difficile d’établir le degré de véracité de la source, et surtout parce que du côté de la justice rien ne filtre pour l’instant.
À en croire ladite source, la sentence que d’aucun estiment complaisante et insignifiante compte tenue de la gravité de l’acte, serait dû au fait que le nommé Bissi Ngosso Brice aurait bénéficié au propre comme au figuré des circonstances atténuantes. D’une part bien qu’âgé de 17 ans, il est considéré comme mineur d’après certains individus qui prétendent maitriser les arcanes du droit.
Dans cette affaire, il y a eu mort d’homme, ce qui est assez gravissime en matière pénale, et si l’on s’en tient aux témoignages de ces camarades de classe, l’acte qu’il a posé était prémédité. D’autre part il se dit que ce garçon a un oncle très bien placé au sein de la magistrature camerounaise, toute chose qui aurait facilité la procédure et permettre au jeune garçon d’écoper de 3 mois d’emprisonnement
