Ce laboratoire français dont les succursales sont disséminées dans le monde, ne fait plus bonne presse.
On sait maintenant que c’est au Centre Pasteur de Hanoï au Vietnam que le Covid-19 a été préfabriqué. On sait également que cette firme fabrique en France avec la complicité de Bill Gates et consort, plusieurs vaccins aux desseins inavoués. Au Cameroun, il y a aussi un Centre Pasteur, qui à défaut de fabriquer les virus et les vaccin génocidaires, s’illustre par une indolence et une incurie qui frise la déperdition.
Pas plus tard que le 24 août, une dame mal en point, accompagnée de son époux, est arrivée dans ce centre pour un test de grossesse, au environ de minuit trente, une heure du matin. À leur grande stupéfaction, l’une des femmes de garde absorbée par une partie de carte avec ses collègues de garde, n’a même pas daigné lever la tête pour exiger à celle-ci un dossier médical comme préalable pour le test de grossesse.
En fait cette dame pour qui la garde était déjà une corvée de trop a tout simplement voulu se débarrasser de la dame en exigeant un dossier médical. Mais depuis quand exige-t-on un dossier médical pour faire un test de grossesse au Cameroun ? Toujours est-il que ce genre de désagrément, sont désormais légions au Centre Pasteur de Yaoundé… Quand ce ne sont pas les résultats qui tardent indéfiniment, ce sont les erreurs des échantillons ou des erreurs sur le diagnostic qui sont commises.
C’est pourquoi, de plus en plus, des voix fusent de partout pour dénoncer et condamner avec emphase, l’incurie et la désinvolture déconcertante qui ont cours dans ce laboratoire française d’analyse médicale. Il faut dire que le prestige dont il s’est fait prévaloir depuis plusieurs décennies, est en train de s’effriter de jour en jour pour laisser transparaître le visage hideux d’une institution, qui a beaucoup plus servi comme fonds de commerce aux puissances occidentales, et comme instrument d’aliénation des peuples du monde, particulièrement ceux d’Afrique.
Avec l’avènement du Covid-19, on peut dire trivialement qu’à quelque chose malheur est bon, car cette pandémie, nonobstant ses tribulations multiples et diverses, a eu pour mérite, de déchirer ne serait-ce qu’en partie le voile de la supercherie, de la fourberie et de la mesquinerie occidentales.