Cameroun – Sud-Ouest : Le soutien du Minjec maintenu à la jeunesse

Le Ministre Mounouna Foutsou

Mounouna Foutsou, le ministre de la Jeunesse et de l’Education Civique, réaffirme les engagements de l’institution placée sous sa tutelle, qui n’entend pas baisser les bras quant aux promesses faites à la jeunesse, notamment dans le cadre du projet Youth Connekt Cameroon.

Le Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique, en abrégé Minjec entend tenir ses promesses faites aux jeunes. C’est l’affirmation du ministre Mounouna Foutsou ce lundi, lors d’une réunion de travail tenue à Yaoundé, au cours de laquelle ont pris part les présidents départementaux du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun (CNJC) de la région du Sud-Ouest venus exposer les difficultés auxquelles font face les jeunes du Conseil. Parmi ces difficultés, les présidents départementaux, qui ont également porté quelques doléances au membre du gouvernement, ont évoqué, entre autres, le souci des jeunes à obtenir un emploi ou à accéder à une école de formation ; le fait que les jeunes ne bénéficient toujours pas de subventions ; la crainte que l’initiative Youth Connect Service Center soit mise au second plan en raison d’autres projets lancés par le Minjec comme par exemple le Digital Youth Service (DYSC) ; le fait que les jeunes ne disposent pas de tenues pour les défilés du 11 février (jour de fête de la jeunesse) …

Après avoir minutieusement écouté ses hôtes, Mounouna Foutsou s’est réjoui de la rencontre qui « prouve que ces jeunes comprennent ce qu’est le CNJC à savoir une plateforme de dialogue entre les jeunes, le gouvernement et les partenaires. Plateforme qui a justement pour but de faire des plaidoyers en faveur des jeunes ». Sur la question de la place du Youth Connekt Cameroon, le ministre a insisté sur le fait « qu’il n’as pas été relayé au second plan ». Et selon lui, « cette initiative fait partie, tout comme d’autres projets des initiatives dont le but est d’accélérer l’insertion socio-économique des jeunes ».

La seule chose que le membre du gouvernement regrette est le contexte actuel, fait de crises sanitaire et d’insécurité dans certaines villes du Cameroun, qui ne permet toujours pas de se déployer aussi efficacement.

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