Adultère au sommet de l’État: haut responsable traîné en justice

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La récente affaire judiciaire impliquant un haut responsable du cabinet du Premier ministre pour adultère présumé soulève des questions sur le respect des droits de la défense et de la présomption d’innocence.

Une affaire qui passionne l’opinion

L’adultère dont est accusé M. Owona Many Gabriel Bernardin, chargé d’études à la DAAR, fascine l’opinion publique camerounaise. Cependant, la prudence s’impose sur cette affaire encore pendante devant la justice.

Le droit au procès équitable

Dans notre État de droit, tout justiciable a droit à un procès équitable et au respect de ses droits fondamentaux. Or, médiatiser à outrance une affaire non jugée peut nuire à l’équité des débats.

La présomption d’innocence, pilier du droit

Principe cardinal, la présomption d’innocence doit prévaloir tant que la culpabilité n’est pas établie. En demandant le huis-clos, la défense use de son droit. Violer cette présomption serait dangereux.

Attendre sereinement le verdict

Plutôt que les conjectures, attendons que la justice suive son cours sereinement. Le verdict rendu, avec toutes les garanties d’un procès impartial, sera seul à même d’établir la vérité sur cette affaire.

Respectons d’ici là la présomption d’innocence et les droits de la défense.

Par Achille Tapé, 237online.com

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