Chantal Biya, l’épouse exemplaire du Président camerounais

Chantal Biya exception

Alors que certaines opposantes au régime camerounais n’hésitent pas à l’attaquer, Chantal Biya continue, années après années, à faire preuve d’un dévouement exemplaire dans son rôle de première dame. C’est ce qu’a tenu à souligner Gervais Araka, haut responsable du Mouvement des Frankistes, dans un vibrant hommage.

Pour ce proche conseiller de Paul Biya, l’épouse du chef de l’État incarne « le sacerdoce » d’accompagner depuis plus de 40 ans un président charismatique à la tête d’un grand pays comme le Cameroun. Et ce en dépit des « énormes responsabilités » et des « grands sacrifices » qu’implique cette fonction.

Une présence indéfectible

L’Inspecteur général du MCFP salue notamment la présence constante de Chantal Biya lors des déplacements officiels de son époux, aussi bien au Cameroun qu’à l’étranger. Une implication remarquable au regard de son âge, que ne renient pas toutes les premières dames.

Mais également une attitude empreinte d’abnégation et de discrétion qui tranche, selon Araka, avec « les courtisanes » et autres « envieuses » qui gravitent autour du palais d’Etoudi.

Le sens du devoir chevillé au corps

Au-delà de ce rôle de représentation, l’auteur rappelle le dévouement multiforme de la première dame envers les populations camerounaises. A travers ses œuvres caritatives certes, mais aussi et surtout son rôle de gardienne du foyer présidentiel, qu’elle tient d’une main de maître depuis plus de quatre décennies.

Quitte à faire passer au second plan sa propre personne et ses aspirations. « Elle n’a jamais fait de politique » souligne ainsi Gervais Araka, en dépit de l’influence inhérente à sa position.

Reconnaissance officielle réclamée

Fort de ce constat élogieux, l’Inspecteur général du MCFP appelle donc à une forme de reconnaissance nationale pour Chantal Biya et son dévouement. Que ce soit via l’attribution d’un salaire pour son action de « mère de la nation », ou encore de décorations officielles pour services rendus.

Car derrière chaque grand homme se cache bien souvent une grande dame, rappelle en substance Gervais Araka. Et Paul Biya le président camerounais peut se targuer d’avoir à ses côtés une épouse à la hauteur du sacerdoce présidentiel.

Par Jean Fernand Onana pour 237online.com

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