Scandale à ISSAM : Menace de divulgation de cas d’exploitation sexuelle par un étudiant

Eteme Ateba Bonaventure Junior

Au cœur de l’Institut Supérieur des Sciences, Arts et Métiers (ISSAM), une institution de renom au Cameroun, un scandale est sur le point d’éclater.

Eteme Ateba Bonaventure Junior, le président des étudiants, menace de dévoiler des images incriminantes de professeurs accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des étudiantes en échange de notes. Cette bombe, il promet de la détoner si son nom n’apparaît pas sur la liste officielle des candidats au BTS (Brevet de Technicien Supérieur).

Une menace qui pèse lourd

Dans un message qui a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et que vous pouvez retrouver sur 237online.com, Eteme Ateba Bonaventure Junior a exprimé son exaspération face à la situation. Selon lui, l’administration de ISSAM refuse de le présenter au BTS à cause d’une prétendue liaison. Il met en garde l’administration de l’institut, menaçant de publier un ensemble de preuves compromettantes si son nom n’est pas inscrit sur la liste des candidats au BTS d’ici jeudi prochain.

Quels sont les enjeux ?

Cette affaire, si elle est avérée, soulève de nombreuses questions sur l’éthique et l’intégrité au sein de l’ISSAM. Les accusations de Eteme Ateba sont lourdes : il promet de divulguer des vidéos, des images, des enregistrements vocaux, et même des captures d’écran de communications qui prouveraient ces actes inappropriés. Il va même jusqu’à mentionner l’existence de vidéos compromettantes du directeur de l’institut.

La menace du président des étudiants révèle non seulement une possible exploitation sexuelle au sein de l’institut, mais aussi une éventuelle injustice à l’égard de sa propre personne. La suite des événements dépendra de la réaction de l’administration de ISSAM face à cette ultime menace.

Un appel à la vigilance

En attendant la suite de cette affaire, cette situation appelle à une prise de conscience. Il est important de rappeler que toutes les personnes, qu’elles soient étudiantes, enseignantes ou administratives, ont droit à un environnement d’étude et de travail sûr et respectueux. Toute forme d’exploitation ou de harcèlement, sexuel ou autre, est inacceptable et doit être dénoncée.

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Paul Ekema / 237online.com

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