Plusieurs motifs pendent sur ce responsable de cet établissement scolaire primaire basé dans la capitale politique du Cameroun.
Le climat de tension installé au sein de l’établissement par Tchagoua, Directeur administratif au petit écolier international de Mvan complexe Beac a un impact considérable sur le corps enseignant et apprenant, ceci au mépris des règles de l’art et de la pédagogie. On ne le dira jamais assez certains dirigeants des établissements d’enseignement primaires brillent par des comportements rétrogrades. C’est le cas au petit écolier, où le « Boss» dicte sa loi sur ces sujets. Selon notre confrère du progrès infos, «le simple motif que vous n’appartenez pas à son clan, ou tout au moins vous essayez de résister à ses exigences, vous êtes frappé».
À l’école où le directeur Tchagoua est entouré d’un personnel enseignant purement féminin, l’homme s’est érigé en « gentleman» pour satisfaire sa libido. Ça passe ou ça casse, le Boss peut vous rappeler à tout moment qu’il est l’Alpha et l’oméga, ces désirs sont des ordres et si vous n’obtempérez pas, vous êtes virés de la plus ridicule des manières. La goutte d’eau qui va débordée le vase sera le licenciement abusif comme à la coutumière initié par celui-ci en série, sur ses ex-collègues pendant l’année scolaire 2019/2020 pour non obéissance à ses exigences. L’affaire est pendante en justice après la sentence de l’inspection du travail du centre.
Apprend-on que, lors d’une réunion de fin d’année scolaire 2018/2019 le tout puissant Directeur du petit écolier, comme il aime bien se faire appeler avait déclaré que : « Les dames qui sont en service à la cantine scolaire vont déguerpir à compter de la rentrée scolaire encours 2019/2020». Sans aucune notification administrative, c’est alors qu’à la rentrée de cette année scolaire, les deux dames se verront chasser comme des personnes malpropres de l’établissement et c’est au directeur de les informées que la cantine sera en gérance libre et qu’elles sont libres d’aller se plaindre ou elles veulent. Après plusieurs tentatives de réconciliation en vain, les dames ont saisi l’inspection du travail qui a statué tour à tour sur des payements de 350.000 francs CFA pour l’une et 430.000 frs CFA pour l’autre estimant que le tout puissant Directeur qui n’est aussi qu’un employé n’avait pas qualité de licencier qui que ce soit. Le directeur, du haut de son perchoir a réussi à amadouer une dame parmi les deux et l’autre renversé la rondelette somme de 250.000 francs CFA à dame Cressence Ekounda quant à Mme Nga Owona qui a refusé de céder au chantage du directeur Tchagoua, elle a déposé une requête au tribunal de première instance d’Ekounou.
Le Directeur jamais disponible s’est fait représenter par sieur Tcheudou, son assistant juridique qui a son tour hésite de se faire humilier sur une affaire qu’il ne maîtrise ni la tête, ni la queue. Quant au directeur qui semble avoir perdu le sommeil pour avoir trahi la confiance de la promotrice, ses jours semblent être compter au petit écolier international de Mvan complexe Beac pour mauvaise gérance. Toute la mafia et les mauvaise manœuvres sont dévoilées à la hiérarchie de l’établissement qui certainement est entrain de prendre des dispositions pour sauvegarder l’image de marque comme par le passé.
