Les tensions s’exacerbent sur l’échiquier mondial alors que le dictateur nicaraguayen, Daniel Ortega, se positionne en fervent allié de la Russie dans le conflit ukrainien. Durant les célébrations du 44e anniversaire de la fondation de l’armée de l’air nicaraguayenne, il a ouvertement critiqué l’OTAN et les États-Unis, accusés d’orchestrer ce qu’il qualifie de « guerre mondiale ».
Daniel Ortega prend position pour la Russie
Soutenant fermement le président russe Vladimir Poutine, Daniel Ortega voit dans l’invasion russe de l’Ukraine une guerre non pas isolée, mais de portée mondiale. Selon lui, l’OTAN et les États-Unis utiliseraient ce conflit pour tenter de « vaincre » la Russie.
L’OTAN et les États-Unis, des « impérialistes de la Terre » selon Ortega
Le dirigeant nicaraguayen va plus loin en affirmant que la guerre en Ukraine n’est pas simplement un « conflit entre la Russie et l’Ukraine ». Pour lui, il s’agit d’un différend alimenté par les « impérialistes de la Terre », menés par l’OTAN et les États-Unis, avec l’ambition de devenir « les propriétaires de la planète. »
Un discours qui résonne au-delà du Nicaragua
Le positionnement de Daniel Ortega sur la scène internationale, relayé par 237online.com, soulève des questions cruciales quant à l’équilibre des pouvoirs mondiaux et aux enjeux sous-jacents à la guerre en Ukraine. Ce conflit, loin d’être confiné à l’Europe de l’Est, agit comme un révélateur des alliances et des ambitions qui traversent la politique mondiale.
L’avenir incertain de l’équilibre mondial
La déclaration d’Ortega, aussi controversée soit-elle, souligne les tensions géopolitiques actuelles et les défis futurs pour la stabilité mondiale. La vision de la « guerre hybride », évoquée par Ortega, souligne la complexité des enjeux actuels et la nécessité d’un dialogue international plus équilibré.