Francis Ngannou, l’impressionnant champion de MMA, a partagé des réflexions inspirantes sur sa vie, ses réussites et la manière dont il affronte la peur de l’échec. Né au Cameroun, il a défié tous les pronostics pour devenir l’un des plus grands noms du sport mondial.
Des débuts modestes au sommet du MMA
« Il n’y a pas eu un seul jour où j’ai pris une initiative et où les gens ont pensé que j’allais réussir », se souvient Ngannou. « Quand j’ai dit je vais faire la boxe, les gens ont dit; ‘ah oui mais il faut oublier’ »
Malgré les doutes et les scepticismes, Ngannou a prouvé à tous qu’il était plus que capable de réussir dans le Mixed Martial Arts (MMA). Sa détermination inébranlable et son travail acharné l’ont propulsé au rang de champion du monde, déjouant les prévisions de ceux qui doutaient de lui.
La quête de liberté et de respect
Ngannou s’est également exprimé sur son désir de respect et de liberté, insistant sur le fait qu’il ne tolérera pas d’être maltraité. « Quand j’ai dit que je voulais ma liberté, que je n’aimais pas la façon dont j’étais traité, on m’a dit : ‘tu ne peux pas combattre le système’. Mais il semble que j’ai l’art de prouver que les gens ont tort. »
Ne pas craindre l’échec
Mais ce qui ressort le plus des réflexions de Ngannou, c’est sa vision de l’échec. « Aujourd’hui, je n’ai pas peur de tomber, je n’ai pas peur de perdre. J’ai plutôt peur de ne pas essayer, j’ai peur de ne pas tout donner, j’ai peur de me retenir à cause de cette peur de l’échec. L’échec ce n’est pas de ne pas réussir, l’échec c’est de ne pas entreprendre, c’est de ne pas aller poursuivre son rêve. »
Pour lui, l’échec n’est pas de ne pas réussir, mais plutôt de ne pas entreprendre, de ne pas poursuivre ses rêves. Il souligne ainsi l’importance d’avoir le courage de tenter sa chance, malgré les risques d’échec.
Francis Ngannou, avec sa carrière remarquable et sa sagesse inspirante, est une véritable source de motivation pour tous ceux qui aspirent à réaliser leurs rêves. Peu importe les obstacles et les doutes des autres, il nous rappelle qu’il est toujours possible de prouver que les gens ont tort.
