« Celui ou celle qui n’est pas DÉGOÛTÉ par ce qui est DÉGOÛTANT est encore plus DÉGOÛTANT que ce qui ne le DÉGOÛTE pas.
Se taire l’abomination que représente la profanation ou la déchirure d’un DRAPEAU est une honte voire une faute que l’Histoire n’absoudra pas.
Notre drapeau, notre « Mont-Cameroun » notre Wouri, notre Sanaga, notre Bénoué, nos Lions Indomptables…etc sont notre lien, notre fétiche, notre Trésor commun qui n’appartient à AUCUN gouvernement ni à AUCUN parti, quelqu’il soit. Car tous passeront mais le drapeau demeurera. C’est notre socle granitique.
Et que celles où ceux qui refusent de condamner cet acte ABJECT n’arborent plus jamais le VERT-ROUGE-JAUNE lors de leur meeting.
Camerounais je suis, Camerounais, je le demeure, Camerounais je mourrai…
Un citoyen », s’est offusqué Celestin Djamen, ancien candidat mrciste aux municipales de février prochain
QUE PRÉVOIT LA LOI?
L’article 2 du code pénal de loi N° 3/A dispose:
« l’outrage ou l’injure envers le drapeau du Cameroun sous quelques formes qu’ils aient été accomplis, qu’ils aient été faits verbalement, par écrit ou par quelque geste que ce soit, seront punis d’un emprisonnement de un à trois mois et d’une amende de 5 000F à 25 000FCFA ».
Grave grave cette action de celui qui a déchiré le drapeu de notre cher et beau pays le CAMEROUN