La situation à l’université de Ngaounderé est très tendue suite à une lettre envoyée par le contrôleur financier, qui a invité la rectrice Pr UPHIE CHINJE Florence Epouse MELO à faire valoir ses droits à la retraite, car elle aurait atteint la limite d’âge en février 2023.
La lettre, qui a été largement critiquée sur les réseaux sociaux, a été considérée comme insultante et méprisante envers la rectrice.
Une lettre déplacée
La lettre envoyée par le contrôleur financier à la rectrice a été considérée comme un manque de respect envers une haute fonctionnaire de l’État. La rectrice Pr UPHIE CHINJE Florence Epouse MELO, nommée par le président de la République, aurait dû être traitée avec la plus grande courtoisie et la plus grande considération, mais il semble que le contrôleur financier ait préféré l’insolence et l’arrogance. En outre, la lettre est également critiquée pour sa méconnaissance de la réglementation en vigueur en matière de nomination des hauts fonctionnaires de l’État.
Un manque de respect pour la carrière de la rectrice
La rectrice de l’université de Ngaounderé a une longue carrière de service public, et son départ à la retraite ne devrait pas être traité comme une sanction. La retraite est un aboutissement normal d’une carrière passée au service de l’État, comme l’a déclaré le président de la République. Le contrôleur financier devrait donc traiter la situation avec la plus grande dignité et respect.
Un acharnement incompréhensible
Le contrôleur financier est également critiqué pour son acharnement envers la rectrice de l’université de Ngaounderé. Il aurait tout fait pour l’empêcher de travailler normalement, en bloquant ses droits statutaires inhérents à tous les recteurs d’université d’État, comme les frais de souveraineté. Cette situation est inacceptable et témoigne d’une médiocrité qui ne devrait pas être tolérée dans l’administration publique.
La situation à l’université de Ngaounderé est très préoccupante, et les actions du contrôleur financier ont suscité de vives critiques sur les réseaux sociaux. Il est temps que les autorités compétentes prennent des mesures pour régler cette situation, afin que les hauts fonctionnaires de l’État soient traités avec le respect qu’ils méritent.
