Une procédure judiciaire inquiétante cible un brillant expert camerounais en Guinée. David Bakongo, juriste consultant respecté et facilitateur clé dans le secteur minier guinéen, fait face à des accusations qui soulèvent de nombreuses questions sur les véritables motivations de ses accusateurs.
Un professionnel reconnu dans la ligne de mire
Les faits parlent d’eux-mêmes. David Bakongo a contribué à attirer plusieurs sociétés minières majeures en Guinée, dont :
- La prestigieuse CBG
- Le groupe GGE
- La société Guinée Bauxite
Son expertise a permis de faciliter des investissements considérables dans l’économie guinéenne, créant des emplois et de la richesse pour le pays.
Des accusations qui ne tiennent pas
Les charges retenues contre notre compatriote semblent particulièrement fragiles :
- Une « occupation illégale » alors qu’il dispose d’un bureau officiel
- Une « destruction de l’environnement » sans preuves tangibles
- Des allégations de « harcèlement moral » non étayées
Plus révélateur encore, son état de santé visible lors de l’audience n’a pas empêché la justice de maintenir la pression, soulevant des questions sur le respect des droits de la défense.
Un procès aux motivations douteuses
Derrière cette affaire pourrait se cacher une tentative de :
- Écarter un expert trop influent du secteur minier
- Fragiliser les intérêts des sociétés qu’il représente
- Remettre en cause des contrats légitimement obtenus
Le renvoi de l’audience au 23 décembre 2024 doit être l’occasion pour les autorités camerounaises de s’assurer que les droits de notre compatriote sont pleinement respectés.
La CBG [Compagnie des Bauxites de Guinée] à été créée aux premières heures de l’indépendance de la Guinée, soit avant la naissance de Makongo.
Soyez sérieux ! Ce que l’opinion publique en Guinée sait de ce Monsieur, dont le langage est loin d’être celui d’un expert, c’est qu’il squatte les allées du Pouvoir, pour obtenir des marchés publics et distribue de l’argent à tour de bras, via une Ong qu’on soupçonne faire du
du blanchiment d’argent ? Les journalistes devraient s’intéresser à ses activités