Milord cache 3,5 millions volés au cimetière Cameroun dévoile un scandale financier inédit dans l’arrondissement de Douala. Ce technicien en bâtiment de 32 ans a dissimulé cette somme colossale « près d’une tombe » après avoir dérobé l’argent reçu la veille par son oncle pour le lancement d’un chantier selon les révélations policières. Cette affaire rocambolesque transforme un cimetière en cachette bancaire clandestine, révélant les méthodes surprenantes de dissimulation d’argent volé. Une enquête qui démontre l’ingéniosité criminelle face aux investigations policières camerounaises modernes.
Technique dissimulation : tombe transformée coffre-fort
L’investigation révèle que « Milord, 32 ans, technicien en bâtiment, a avoué mardi avoir dérobé et caché près d’une tombe l’argent reçu la veille par son oncle pour le lancement d’un chantier » selon le rapport de police officiel.
Cette méthode insolite témoigne d’une préméditation calculée : « le décor avait mangé l’argent, et il avait déposé les sous » dans une stratégie de camouflage utilisant l’environnement funéraire comme refuge financier temporaire.
Les enquêteurs précisent que « la police – en l’occurrence le commissariat de sécurité publique du 3e arrondissement – a été saisie de l’affaire » confirmant la gravité de cette escroquerie familiale dans la métropole économique camerounaise.
Arrestation révélatrice : 4500F retrouvés
« Face à tonton, notre plombier ne manque pas de diplomatie » ironise le rapport police révélant la confrontation familiale qui a précédé l’arrestation de Milord S. dans cette affaire de détournement.
L’enquête démontre que « il avait en outre déjà prélève dix mille F pour des menues dépenses (repas, crédit de téléphone…) » illustrant la gestion désinvolte de l’argent détourné par le suspect selon les témoignages recueillis.
La perquisition finale révèle « il a été conduit au poste » après découverte de « 4500 F dans ses poches » constituant le solde résiduel de cette escroquerie familiale de grande ampleur dans l’arrondissement de Douala selon les sources policières consultées.
Cette méthode de dissimulation inspirera-t-elle d’autres criminels camerounais ?
