Cameroun : Kah Wallah et Alice Kom, la traîtrise dans les gènes

Alice Kom

Me Alice Kom et Edith Kabang Wallah ont rédigé deux documents à charges destinés aux institutions internationales cette fin de semaine.

Documents attribués à 20 femmes leaders. Alors que plusieurs observateurs avertis questionnent la démarche et émettent des doutes sur la véracité des faits, certaines femmes leaders prétendues signataires disent ne pas se reconnaître dans ces documents et dans la démarche. Pourquoi attribuer un document à des femmes sans même les consulter?

L’opinion camerounaise et internationale ont été choquées ce dimanche soir d’apprendre que plusieurs femmes prétendues signataires des documents à charge envoyé au conseil de sécurité des Nations Unies et au FMI n’ont jamais vu encore moins donné leur Ok sur un document mensonger et surtout qui heurte le patriotisme de plusieurs braves femmes combattantes des droits de l’homme et des libertés. Henriette Ekwe invitée de l’émission l’Arène de Canal 2 a exprimé son étonnement en apprenant qu’elle a été associée à un tissu de mensonges et à une cabale contre la brave armée professionnelle de son pays.  » Je ne peux pas insulter notre armée  » a-t-elle martelé. À sa suite de forts soupçons pèsent sur l’accord du Dr Marie Louise Otabela à ce bal des  » sorcières  » et bien d’autres.

Qu’est ce qui est reproché à ces documents ?

Ces documents n’ont jamais eu l’aval des femmes citées. De plus la qualité des destinataires pose problème. Une poignée de femmes est elle représentative au point d’engager la responsabilité de tout un peuple ? « Chers membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies, Nous vous écrivons pour porter la voix des Camerounaises et des Camerounais de différentes catégories… » De qui ont elles reçu mandat? Vraisemblablement de leurs seules personnes. Par désespoir de voir le Cameroun debout les deux ont jugé tenter de convaincre le conseil de sécurité d’intervenir au Cameroun. Ignorantes au passage du poids du Cameroun dans la stabilité du Golfe de Guinée. Pour ce qui est du Fmi, voilà encore où le ridicule s’exprime .Le Fond Monétaire international a reçu les garanties de paiement de la part de son partenaire camerounais. Il n y a donc aucune raison pour que celui-ci n’accorde pas de crédit au pays de Paul Biya car le FMI est un vendeur d,argent aux Etats fiables et crédible et le Cameroun l’est sans aucun doute. En Revanche, Paul Biya dès le début de son magistère est resté fixé sur diptyque Rigueur et moralisation. Celui-ci n’a donc pas attendu que les femmes visiblement assoiffées du chaos pondent un torchon pour exiger du gouvernement un Audit pour la gestion des fonds Covid . Ceci depuis Juin 2020. De plus, l’ Operation d’Assainissement de la morale publique en matière de gestion de la fortune publique appelée Opération epervier est là pour démontrer que Paul Biya ne s,amuse pas avec la fortune des Camerounais. Tenter de faire une récupération politique de sa lutte est maladroit.

Kah et Kom, la traîtrise dans les gènes !

Edith Kabang Wallah et Me Alice Kom ont au moins deux choses en commun. Elles sont sans foyer et donc émotionnellement seules, puis ont du goût pour la trahison . Kah Wallah, responsable de la stratégie politique dans le SDF en 2010-2011 avait alors trahi le parti de Fru Ndi qui exigeait du gouvernement une refonte des listes électorales avant toute élection en 2011. Pour privilégier ses intérêts égoïstes et surtout les fonds qui allaient avec , elle décida de lancer les inscriptions sur les listes électorales avec son association » Cameroon Obosso  » et en même temps s,est dit prête à aller aux élections. Elle finit par quitter le parti pour prendre la carte d,un autre parti CPP afin de s’arroger le mérite de la 1ère femme candidate à la présidentielle au Cameroun. Helas son rêve sera brisé car une autre femme en avait participé, Esther Dang.

Me Alice Kom a défrayé la chronique en 2019 lorsqu’elle affirmait détenir de gros financement et qu’elle cherchait à les loger dans une banque centrale. Ces font selon elle devait servir à faire la guerre. À cette réunion de Munich participaient les vulgaires vandales casseurs des ambassades du Cameroun à Paris et à Munich. Rien d’étonnant que ces deux complices des mauvais coups aient abusé du nom et de la notoriété de plusieurs femmes dont la rectitude morale et le patriotisme sont avérés. Chasser le Naturel, il revient au galop. Mais les femmes camerounaises n,ont pas attendues pour marquer leur indignation et leur mécontentement face à ce qui s’assimile à de l,imposture. Bien avant Henriette Ekwe, Pr Justice Ndifo et plusieurs dizaines de femmes sont montées au créneau pour dénoncer cet acte irresponsable. Il n y a donc pas eu 20 femmes signataires mais 2 et 18 victimes des deux complices.

Correspondance particulière de Bertin Metsengue

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