Une dizaine d’étudiants du Saker Baptist College Limbe, dans le Sud-Ouest du pays, ont été licenciés après avoir organisé une bagarre générale sur le campus opposant les étudiants de Form Five à Upper Sixth.
L’école secondaire de filles a renvoyé ces élèves quelques jours avant la fin de la partie écrite du certificat général d’éducation du Cameroun (GCE).
Depuis jeudi soir, plusieurs versions de l’incident se sont produites, mais Camerooninfo a finalement appris qu’en raison d’un acte de manque de respect de la part de l’étudiante de Form Five, une élève de la Haute-Sixième a mobilisé ses camarades de classe et ses amis pour la frapper en signe de punition.
L’étudiante de Form Five est retournée dans son dortoir et a rallié ses propres amis, ce qui a entraîné une grande bagarre et donc un renvoi. Certains parents n’ont pas pris cette décision normalement alors qu’ils utilisaient les médias sociaux pour exposer leurs griefs. Les visages des deux filles circulent sur les médias sociaux. L’un des parents a promis de poursuivre l’école en justice pour le licenciement de son enfant.
Saker Baptist College est une école secondaire réservée aux filles située à Limbé au Cameroun. Il a été fondé en 1962 comme l’une des deux premières écoles secondaires pour filles au Cameroun.
Comme beaucoup d’autres internats, les administrateurs donnent des pouvoirs aux anciens compagnons, qui en abusent parfois de manière excessive.
Selon une source proche, après que les huit filles du sixième cycle supérieur aient organisé et battu une fille du groupe 5, les 81 élèves du groupe 5 se sont associés pour combattre les 36 élèves du groupe supérieur. Les élèves du sixième cycle supérieur qui ont provoqué l’acte avaient des disques sales dans notre école, car nous avions déjà été suspendus deux fois auparavant, raison pour laquelle ils ont été immédiatement renvoyés.
Entre-temps, l’élève du sixième cycle supérieur et certains camarades prétendent que l’enseignant les a violés s*e*xuellement, accusation qui a attiré l’attention de nombreux militants pour l’égalité des s*e*xes. Le calme est toutefois revenu à l’école, malgré tous les obstacles.