La ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille, Thérèse Abena, est accusée de ne rien dire face à une série de drames touchant les femmes au Cameroun. Son silence est perçu comme un manque d’engagement envers les victimes et leurs familles.
Les drames ignorés par la ministre
Plusieurs événements tragiques ont eu lieu au Cameroun ces derniers mois, impliquant des femmes et des jeunes filles victimes de viol, d’assassinat, d’enlèvement ou encore de vol de bébé. La ministre Thérèse Abena n’a pas réagi publiquement à ces drames, soulevant l’indignation.
La promotion de la femme : une mission délaissée ?
Nommée ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille par Paul Biya, Thérèse Abena est critiquée pour se focaliser sur la vente de pagnes chaque 8 mars, plutôt que sur la défense des droits des femmes et la lutte contre les violences qui les touchent.
L’opinion publique s’interroge sur le rôle de la ministre
Face à cette situation, de nombreux Camerounais s’interrogent sur l’utilité de la ministre et sur l’impact de son action en faveur des femmes et des familles. Le silence de Thérèse Abena est perçu comme un signe d’inaction et d’indifférence face aux drames vécus par les femmes camerounaises.
L’appel à l’action pour protéger les femmes
Ces événements tragiques mettent en lumière la nécessité d’une action plus forte de la part de la ministre Thérèse Abena et des autorités camerounaises en faveur de la protection des femmes et des familles. La prise de position et la mise en œuvre de mesures concrètes sont attendues pour lutter contre les violences faites aux femmes.
Le silence de la ministre Thérèse Abena face aux drames touchant les femmes au Cameroun suscite l’indignation et soulève des questions sur l’efficacité de son action en faveur de la promotion de la femme et de la famille. Il est temps pour elle de montrer son engagement et de prendre des mesures pour protéger les Camerounaises et leurs familles.
