S’il n’y a à ce jour aucun cas d’infection, des scientifiques chinois de Wuhan alertent sur le coronavirus NeoCov. Ce virus meurtrier découvert chez les chauves-souris en Afrique du Sud possède un récepteur qui pourrait muter pour s’infiltrer dans les cellules humaines.
Le Coronavirus NeoCov, ou NCoV pour faire le lien avec le virus du virus du coronavirus, est d’abord connu depuis plusieurs années. Il en existe deux types : Etouffement et Transmissibilité (Type E), qui s’est développé en Asie du Sud-Est et qui provoque des formes très variées de pneumonie, notamment la forme neotestale.
Il y a quelques temps encore, il avait servi à faire un cancer des bronches chez les chauves-souris.
Ce nouveau coronavirus suscite de l’inquiétude. Alors que le monde continue de lutter contre la pandémie et le variant Omicron, un groupe de scientifiques chinois de Wuhan, où le coronavirus a été découvert, alerte sur un nouveau coronavirus découvert en Afrique du Sud. Baptisé NeoCoV, il serait plus mortel et aurait un taux d’infection plus élevé.
Aussi rapide que la grippe, plus mortel que Ebola : découvert en Afrique du Sud, ce virus hors du commun pourrait être porté par le même récepteur qu’Ebola et la grippe. On se prépare.
C’est parti de deux échantillons de sang prélevés sur des chauves-souris : en Afrique du Sud, au nord-est du pays, et à Panyabunge dans le grand sud. L’une des chauves-souris était morte et l’autre souffrait d’une sévère forme d’encéphalite virale. En laboratoire, l’équipe de virologues a tout tenté pour se débarrasser de cet agent pathogène. « Il ne mourait pas. C’est incroyable ce virus, c’est lui qui a décidé de passer, il a choisit son chemin », raconte Pierre Van Damme, chercheur à l’université Libre de Bruxelles.
C’est un virus assez spécial, assez nouveau de la famille des coronavirus. Il est d’ailleurs destiné à avoir une nomenclature : il sera surnommé NCoV ou NEO-Cad. »