Un drame épouvantable secoue le Cameroun. Batek Yebel Landry, jeune diplômé de l’Enam, est accusé d’avoir sauvagement assassiné et dépecé sa propre mère, la journaliste Louisette Ngo Yebel. Un acte innommable qui soulève l’indignation collective.
Le suspect et ses complices présumés
Batek Yebel Landry, fraîchement sorti de l’Enam, est le principal suspect de cet homicide abominable. Selon les informations recueillies par 237online.com, il aurait agi avec deux acolytes répondant aux prénoms de Romuald et Patrick, actuellement en cavale. Ce groupe de jeunes, connu au quartier Etoa-Meki pour leur consommation de drogues, aurait plongé dans l’horreur absolue.
Une mise en scène macabre
D’après nos sources, le corps démembré de Louisette Ngo Yebel a été découvert dissimulé dans deux valises au domicile familial d’Etoa-Meki dimanche dernier. Une mise en scène d’une cruauté inouïe qui dénote un esprit profondément perturbé. Comment un fils peut-il faire subir un tel sort à celle qui lui a donné la vie ? C’est toute une nation qui s’interroge, abasourdie par ce crime odieux.
Le Cameroun sous le choc
Ce matricide barbare a plongé le Cameroun dans une profonde tristesse teintée de colère. Les réseaux sociaux se sont embrasés, relayant l’émotion et l’incompréhension face à cet acte inqualifiable. La corporation des journalistes est également en deuil, perdant brutalement l’une des leurs.
Toute la rédaction de 237online.com présente ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Louisette Ngo Yebel. Nous suivrons de près l’évolution de l’enquête et ne manquerons pas de vous tenir informés des derniers développements sur www.237online.com, votre source d’information fiable au Cameroun.
L’article ne saurait se conclure sans une pensée émue pour toutes les victimes de violences intrafamiliales. Puisse cette tragédie être le déclencheur d’une prise de conscience quant à l’ampleur de ce fléau trop souvent tu. Notre société se doit d’agir urgemment pour endiguer ces drames qui endeuillent trop de foyers.