Les États-Unis ont décidé de limiter l’utilisation des mines antipersonnel en renonçant à ces armes hors de la péninsule coréenne, a annoncé mardi la Maison-Blanche.
D’après un communiqué d’Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, « conformément à une décision du président, les États-Unis mettront leur politique d’utilisation de ces mines hors de la péninsule coréenne en conformité avec les clauses clés » de la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnel de 1997.
Son communiqué contient une note explicative concernant les conséquences pratiques de cette décision de Joe Biden. Elle indique notamment que les États-Unis renonceront à la conception, à la production et à l’acquisition des mines antipersonnel, et favoriseront la destruction de tous les stocks de ces armes qui ne sont pas nécessaires pour défendre la République de Corée.