Jean de Dieu Momo: « Les activistes de la diaspora sont «essentiellement inactifs sur le plan professionnel»

Jean de Dieu Momo, Président National des Patriotes Démocrates pour le Développement du Cameroun (PADDEC) a déclaré dans un communiqué rendu public le 30 avril dernier que la récente résolution du Parlement européen sur le Cameroun est portée par « des allégations diffusées par une minorité de Camerounais, une poignée de personnes bruyantes et frustrées résidant illégalement hors de nos frontières ».

Pour Le Président National du PADDEC, ces camerounais de la diaspora, «essentiellement inactifs sur le plan professionnel» pouvons nous lire, sont la cause, à travers leurs dires, des pressions diplomatiques exercées par la communauté internationale sur le Cameroun.

Dans un long plaidoyer, Jean De Dieu Momo vante ensuite les actions menées par le Président de la République

Le Président National du PADDEC salue les actions menées par le Président de la République pour résoudre la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du pays, ainsi que d’autres initiatives de développement.

Sur l’accusation de mauvaise gouvernance du Cameroun par les autorités camerounaises actuelles, « le PADDEC observe que certains pays européens sont en état de cessation de paiement ou de déconfiture et que la dette publique de la majorité des pays occidentaux surprend ici par son énormité sans que nous nous permettions de la tourner en dérision.

Plus loin, le PADDEC note avec humour que « la seule cathédrale Notre Dame de Paris a été construite pendant plus de deux siècles, alors que le Cameroun, qui n’a que 59 ans, a déjà posé toutes les fondations de son édification et se construit à un pas plus accéléré. »

Toujours selon lui, « Les thèses de mauvaise gouvernance relayées tactiquement par une opposition camerounaise à laquelle le PADDEC appartenait hier, sont véhiculées de façon opportuniste par cette même opposition qui a choisi la voie insurrectionnelle pour accéder au pouvoir et qui trompe à la fois une petite partie du peuple camerounais mais surtout les institutions étrangères qui en deviennent innocemment des relais« .

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