237online.com rapporte que l’Université de Liège, en Belgique, a récemment soulevé la question de la fraude documentaire impliquant des étudiants camerounais.
Ces derniers sont accusés d’utiliser des documents falsifiés, tels que des attestations bancaires, pour intégrer cette prestigieuse institution. Les autorités camerounaises sont appelées à réagir afin d’éviter de lourdes conséquences pour ces jeunes étudiants.
Le rôle des intermédiaires: Des recruteurs peu scrupuleux
Selon l’ambassadeur du Cameroun en Belgique, Daniel Evina Abe’e, l’Université de Liège suspecte l’implication d’intermédiaires recrutés par les étudiants camerounais pour faciliter leur inscription. Ces intermédiaires seraient à l’origine de la falsification des documents. Pour mettre fin à cette pratique, l’université souhaite coopérer avec les autorités camerounaises et éliminer le recours à ces agents peu scrupuleux.
La réaction des autorités camerounaises: Une affaire prise au sérieux
À Yaoundé, la correspondance de l’ambassadeur est examinée avec attention par le ministère de l’Enseignement supérieur (Minsup). Bien que les détails de la réponse du gouvernement camerounais ne soient pas encore connus, il est clair que l’affaire est prise très au sérieux. Le Minsup déclare : « On va exploiter la correspondance de l’ambassadeur. Pour l’instant on ne peut rien dire ».
Lutter contre la fraude pour préserver l’avenir des étudiants camerounais
Le phénomène de fraude documentaire à l’Université de Liège met en péril l’avenir académique et humain des étudiants camerounais en Belgique. Il est crucial que les autorités camerounaises collaborent avec l’université pour mettre fin à ces pratiques malhonnêtes et préserver l’intégrité du système éducatif. Visitez 237online.com pour suivre les dernières informations concernant cette affaire et bien d’autres sujets liés au Cameroun.
