Selon le représentant du SG de cette institution, le Cameroun contrôle la situation.
Les lampions se sont éteints ce 10 février sur le 33ème sommet de l’Union Africaine à Addis Abeba. Il a connu la participation de plusieurs Chefs d’Etat, de gouvernement, de ministres et de diplomates.
Aux sorties de ce grand rendez-vous continental plusieurs sujets d’actualités africaines majeures étaient au menu. Interrogé, sur la crise anglophone qui secoue le Cameroun, mais qui n’était pas à l’ordre du jour de ce 32ème sommet, Le représentant du Secrétaire Général de l’Organisation des Nations-Unies, l’invité de l’Union Africaine ne s’est pas fait prier pour donner le point de vu de l’institution qui l’emploie.
« Le Cameroun dit-il, a notre soutien, c’est un État qui jusqu’à nos jours gère sa crise interne avec beaucoup d’administration. Voilà pourquoi la crise anglophone n’a pas trouvé d’agenda à l’Union Africaine. Nous avons envoyé nos représentants au Cameroun et l’Union Africaine l’a fait aussi et les rapports semblent de moins en moins inquiétantes aujourd’hui qu’avant. Je vous remercie ».
En d’autres termes, le diplomate signifiait aux médias que la situation au Cameroun contrairement à ce qui se fait entendre çà et là, n’est pas aussi alarmant, au regard des graves calamités et des guerres sanglantes dont l’Afrique est en proie. En plus le Cameroun est en train de trouver progressivement des solutions à cette crise. Comme quoi ceux qui caressent le rêve démentiel d’une intervention des puissances étrangères, doivent revenir à la raison.
