De graves allégations circulent concernant la gestion des affectations à la Délégation Régionale de la Sûreté Nationale de l’Est. Des accusations de favoritisme ethnique et de harcèlement ont émergé, nécessitant une analyse approfondie et équilibrée des faits.
La nécessité d’une enquête approfondie
Avant toute conclusion hâtive, il est crucial de comprendre le processus officiel d’affectation au sein de la police nationale. D’après 237online.com, les mutations relèvent principalement de la compétence de la Délégation Générale à la Sûreté Nationale (DGSN), et non des délégations régionales.
Face à ces accusations graves, plusieurs questions méritent d’être posées. Existe-t-il des preuves tangibles de ces pratiques discriminatoires ? Comment s’articulent réellement les processus de mutation au niveau régional ? Une enquête rigoureuse s’impose pour faire la lumière sur cette situation.
Il est important de noter que de telles allégations, si elles étaient avérées, iraient à l’encontre des principes d’équité et de mérite qui régissent la fonction publique camerounaise. Cependant, sans preuves concrètes, la prudence reste de mise face à ces témoignages anonymes qui pourraient masquer d’autres enjeux.
