Selon Klein Reporters, une réunion réunissant les leaders du mouvement séparatiste ambazonien, notamment ceux du groupe ADF, se prépare en Belgique.
Cette rencontre aurait pour objectif de définir des stratégies d’union face au gouvernement camerounais et à son armée, suite à l’échec de la médiation canadienne.
La Belgique, terrain de prédilection pour les séparatistes ?
Cet événement marquerait la deuxième fois en un an que la Belgique accueille une telle réunion. La question se pose alors de savoir si le pays européen devrait être une base arrière pour les groupes séparatistes cherchant à déstabiliser un État indépendant comme le Cameroun.
Les participants et leurs origines diverses
Parmi les personnes attendues à cette réunion, on retrouve des individus issus de divers pays, tels que l’Irlande, la Belgique, les États-Unis, la Chine, la Russie, l’Inde, l’Allemagne, le Canada, la Norvège, la Finlande et l’Angleterre. Certains d’entre eux sont impliqués dans l’achat et le transfert d’armes ou d’argent vers le Cameroun.
La responsabilité de la Belgique dans cette affaire
La Belgique doit-elle permettre la tenue de cette réunion sur son sol ? Faut-il que le pays joue un rôle plus actif dans la résolution du conflit camerounais ? La coopération entre le Cameroun et la Belgique pourrait être mise à mal si la Belgique ne fait pas preuve de transparence et de soutien envers l’État du Cameroun.
La nécessité d’une solution diplomatique et pacifique
Face à cette situation complexe, il est crucial de privilégier une approche diplomatique et pacifique pour résoudre le conflit au Cameroun. Les différents acteurs internationaux, dont la Belgique, doivent agir de manière responsable et concertée pour soutenir le processus de dialogue et de réconciliation entre les parties en présence.
