Cameroun – Sécurité: La collaboration FMO et populations rassure à l’Est

Dans l’ensemble de la région du Soleil Levant, les comités de vigilance produisent des actes de bravoure en neutralisant quelques hors-la loi.

Plus une semaines sans apprendre que dans une localité de la région de l’Est, les populations constituées en comité de vigilance pour assurer la sécurité et la stabilité de leurs villages et quartiers. Des comités constitués de femmes et hommes généreux et bénévoles qui ont choisi de soutenir la politique du chef de l’État dans la lutte contre le petit et grand banditisme sous toutes ces formes. C’est ainsi qu’à tout moment les apprentis sorciers sont facilement démasqués et aussitôt, les auxiliaires de l’administration (chef traditionnel) saisissent régulièrement les autorités compétents pour dénonciation. “ Depuis mon arrivée à Bertoua, les présidents de comités de vigilance et chefs traditionnel mes rendent compte régulièrement de la situation sécuritaire et sociale des quartiers de ma circonscription.” témoigne, Évariste Atangana Zoa, sous-préfet de l’arrondissement de Bertoua 2e.

Tout recensement au village Kwelé, dans le département de la Kadey à l’Est, une bande de bandits spécialistes dans le vol de moto constitué de trois individus ont été identifié et dénoncer auprès de la brigade territoriale de la gendarmerie nationale de Batouri. Sans traîné le pas, David Mvondo, commandant de ladite compagnie, et ces éléments vont effectués une descente guidé par les membres du comité de vigilance. C’est ainsi, que courant investigation, les assoiffés de motocyclettes vont commettre un autre forfait au village Belita qui sera le dernier. Car, une battue sera faite dans la brousse où ces malfrats se sont enfuis. C’est ainsi qu’ils font tombés dans la ceinture de sécurité mis en place par le comité de vigilance. Ils seront bien molestés avant d’être conduit à la brigade de Batouri le 28 octobre dernier.

le village Kwele est qualifié de localité à haut risques, suite à ça localisation, village carrefour entre la centrafricaine et le Cameroun. Situé entre les arrondissements de Batouri – Kentzou et Ndelele. Selon certaines sources à la brigarde de gendarmerie de Batouri, ces trois individus seraient entrés dans le village en provenance de Batouri.

Ces camerounais d’un autre genre seront identifier sous les filiations suivante : «le plus jeune s’appelle Jean Marie Ndonbogo né le 28 février 2002 à Batouri, fils de Mbondo Victor et de Ndomo Rosine; suivi de Gédéon Nyao, né en 1996 à Ndelele, fils de Nguinda Emmanuel et de Akoundou Mélanie et enfin le plus âgé de la bande Jean Hugues Chikino né en 1990 à Loumbe 2, fils de Ndjengoa Célestin et de Mborguene Hortense. Par ailleurs une arme de fabrication artisanale et une cartouche calibre 12 récupéré par la brigade territoriale de Batouri.

À Bertoua, le comité de vigilance du quartier Ekombitier, neutralisait la semaine dernière le jeune Yannick et la conduit au ESIR ( équipe spéciale d’intervention rapide) de la police. Et au petit matin du 17 octobre 2018, au quartier dit KANO sortie de la ville vers Mandjou, le nommé Mahamat Abassi, né le 02 juillet 1990 à Ngaoundere, après avoir braquer au centre de santé “le progrès de KANO” le comité de vigilance sera alerté suite aux de détresse du personnels hospitalier « Oh voleur» , il prendra la fuite en passant entre les maisons et sera orienté vers un grand trou où il tombé pas moyen de se sauver sous la pluie et c’est le lendemain avec une longue corde vu que le trou profond de 8 m environ sur 4 m avec une bonne quantité d’eau attaché sa corde et descend pour récupérer un l’infortuné qui avait en sa possession un pistolet automatique qui est tombé lors de sa fuite, c’est ainsi qu’il sera neutralisé et les FMO alertés, les sapeurs l’ont sortis et remis à la disposition de ta brigade territoriale de la Légion de gendarmerie de Bertoua où le présumé est gardé pour les enquêtes. Pour lui, le coordinateur général des activités de l’association des amis solidaires pour la prévention des infractions et de la récidive carcérale ( ASPIRCA), indique: «Mahamat Abassi avait été incarcéré le 30 septembre 2014, pour vol aggravé en coalition et défaut de carte nationale d’identité, et condamné le 08 mai 2015 par le tribunal de grande instance de Bertoua à 02 ans d’emprisonnement et à 100.000 f CFA d’amande ferme et aux dépens liquidés à la somme de 59.739 f CFA ou à 09 mois de contrainte par corps. Il obtiendra sa libération le 30 juillet 2017, pour une fin de peine.» précise Nestor Clement Dongmo.

Bossis Ebo’o, 237online.com

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