Dans une nouvelle manifestation de son obsession anti-Mbombo Njoya, Samuel Eto’o tente une manœuvre risquée à la CAF. L’équipe de 237online.com vous dévoile les dessous d’une stratégie qui pourrait se retourner contre son auteur.
Exit les rêves de présidence de la CAF pour 2025 ! Le patron de la FECAFOOT, rattrapé par ses déboires judiciaires, vise désormais plus modeste : un siège au Comité Exécutif, actuellement occupé par son rival Seidou Mbombo Njoya.
Un pari risqué aux lourdes conséquences
Face aux obstacles qui s’accumulent, Eto’o déploie un plan B révélateur :
- Montage de la candidature du Congolais Jean Blaise Mayolas
- Tentative avortée d’enrôler le président de la fédération centrafricaine
- Multiplication des manœuvres anti-Mbombo Njoya
Plusieurs éléments fragilisent la démarche d’Eto’o :
- Sa condamnation pour fraude fiscale en Espagne
- Les sanctions de la CAF pour violations éthiques
- Un jugement en appel attendu avant la fin de l’année
Cette obsession de chasser Mbombo Njoya de la vice-présidence de la CAF pourrait avoir des répercussions majeures :
- Compromission définitive de ses ambitions continentales
- Impact sur son avenir à la FECAFOOT
- Isolement sur la scène africaine
Pendant ce temps, la CAF se relève d’une gestion catastrophique de l’ère Ahmad Ahmad, dont Eto’o était conseiller, avec une dette de 40 millions de dollars (23 milliards FCFA) épongée par la nouvelle équipe.