Cameroun : PTS-JEUNES : Mounouna Foutsou visite quelques Success-Story dans le Littoral

Nenda Pascaline est Laman

Fouatsa Kenne Isabelle, Nenda Pascaline, qui ont pour nom de structure, Média Communication+ pour l’une et LAMADA, pour l’autre, sont deux jeunes camerounaise ayant bénéficiées du financement et l’encadrement du Programme Triennal Spécial-Jeune.

Le Ministre de la Jeunesse et de l’Éducation Civique, dans son pragmatisme proverbial, est descendu dans les deux structures basées à Douala afin de s’assurer de la véracité des faits à lui rapportés par ses collaborateurs en charge de l’implémentation du PTS-JEUNES tel que préconisé par le Chef de l’Etat.

Dans la même veine, le Ministre Mounouna Foutsou, lors de sa tournée de travail dans le Littoral, a été invité à visiter le site de la Jeune bénéficiaire du PTS-JEUNES, Kota Agnès, qui grâce à ce projet, emploie au jour d’aujourd’hui plusieurs autres jeunes dans le domaine des soins du corps pour femmes et enfants. Après le succès remarquable, la jeune bénéficiaire ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Sa vision pour le futur, s’est de transformer sa structure en centre mixte hommes et femmes. Il en est de même pour la jeune Koto Agnès, promotrice d’un centre de beauté esthétique, coiffure et massage, qui a eu l’insigne honneur d’accueillir le MINJEC dans son salon.

Revenant à Fouatsa Kenne Isabel, propriétaire d’une Agence de communication et vente de matériel sportif, il faut dire qu’elle a été financée à hauteur de 6 000 000 de nos francs. Nenda Pascaline, quant à elle, a mis sur pied une gamme de produits BLESOLAC blé ; BLESOLAC plantain ; BLESOLAC patate, avec des arômes fruités, lactés, saveur biscuit. Le tout 100% naturel, au coût très abordable de 1000 FCFA et 100 FCFA. Au sortie de la visite du Ministre, elle s’est confiée à la presse : « il s’agit des produits locaux, c’est-à-dire des produits instantané, à base des farines locales (farine de patate ; farine de plantain ; farine de melon.), c’est un marché énorme ». En somme, elle a fait savoir que ce marché d’aliment pour enfant, représente 14 milliards de chiffre chaque année, 14 milliards qui vont malheureusement à l’extérieur chaque année.

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