A plus d’un exemple la vie humaine a du prix aux de Paul Biya.
Souvenance faite sur le cas des puchistes de 06 avril 1984, la réplique s’établit en 2019 au cas de Sisiku Ayuk Tabe et Cie.
Qui n’aurait pas cru à un scénario pareil à ceux de condamnations à mort texan? La vie humaine est encore épargnée au nom de l’humanisme. Un prétexte qui peut bien signifier une volonté de perpétuer l’idée d’un dialogue que le chef séparatiste avait eu soin de définir le cadre en mai dernier.
Sisiku n’aurait pas dû avoir la vie sauve. Le massacre qu’il fait subir aux populations du Nord et Sud-ouest n’est pas digne d’une magnanimité à son égard.
Le monde entier a été témoin d’une virulente bastonnade de femmes à même la rue. D’incendies des écoles, de tuerie des forces de de maintien de l’ordre et autres assassinats mis au compte d’une traîtrise de certains membres devant uniquement communier avec l’Ambazonie et non la république.
Malgré toutes ces atrocités, qui très souvent ont manqué d’être relayées par les organismes de défenses de droits de l’homme, les responsables ne seront que des reclus à vie.
Peu de chose pour de tels actes ayant décimé les vies et la solidarité nationale.
