Une polémique sans précédent secoue les institutions après la réaction maladroite de Clément Atangana à Equinoxe TV. L’équipe de 237online.com décortique cette communication de crise qui tourne au fiasco.
Dans un « droit de réponse » qui défie les principes élémentaires des relations publiques, le président du Conseil Constitutionnel s’empêtre dans des justifications qui fragilisent davantage sa position. Deux questions cruciales restent sans réponse claire : sa présence à la réunion controversée et l’existence d’une motion de soutien pour 2025.
Plus troublant encore, la tentative de justification mêle administration territoriale et Conseil Constitutionnel, soulevant des interrogations sur l’indépendance de ces institutions. Cette confusion institutionnelle révèle un malaise profond au sommet de l’État.
L’absence apparente de conseil en communication professionnelle transforme cette tentative de clarification en véritable catastrophe médiatique. Sans répondre aux accusations d’origine, ce droit de réponse devient un aveu de faiblesse institutionnelle.