Les conséquences dramatiques des coupures à répétitions d’ENEO continuent au Cameroun. Après le décès d’un enfant à Obala, un incendie vient de ravager un domicile au quartier Ndogpassi à Douala. En cause : un délestage brutal du courant.
Des dégâts humains et matériels en série
L’entreprise ENEO cristallise toutes les haines au Cameroun. Ses délestages intempestifs ont déclenché récemment un violent incendie à Obala, coûtant la vie à un petit garçon. Ce Week-end, nouvelle conséquence funeste à Douala.
Suite à une énième coupure de courant, une habitation du quartier Ndogpassi a en effet pris feu, ravageant l’édifice jusque dans ses fondations. Heureusement cette fois, aucune perte humaine n’est à déplorer.
ENEO, l’entreprise la plus décriée du Cameroun
Ces incidents à répétition n’arrangent pas l’image déjà calamiteuse d’ENEO auprès des Camerounais. Et sa responsabilité est pointée du doigt, entre déficit d’investissement et absence d’entretien des infrastructures, conduisant à ces coupures brutales aux lourds dommages.
Faut-il encore attendre le pire pour que l’opinion se soulève contre ces agissements scandaleux ? L’entreprise joue décidément avec le feu, dans tous les sens du terme…