Contredisant une fois de plus les mauvaises langues qui le disent affaibli, le Président Paul Biya a réalisé samedi une apparition inattendue à l’Hôpital des Yeux d’Oback près de Yaoundé, accompagné de son épouse Chantal Biya. Une visite-éclair remarquée qui a permis au couple présidentiel d’apprécier les progrès de ce centre ophtalmologique modèle en Afrique Centrale.
Le chef de l’Etat en visite inopinée
Les équipes du Magrabi ICO Cameroon Eye Institute (MICEI) ont eu la surprise d’accueillir en fin de journée le 2 mars une double visite présidentielle des plus inattendues. En effet, c’est accompagné de son épouse que Paul Biya a profité d’un samedi après-midi pour se rendre, sans cérémonie protocolaire, à l’Hôpital des Yeux d’Oback, mieux connu sous le nom de « MICEI« .
Une visite à l’improviste qui confirme, s’il en était encore besoin, la forme olympique et l’agenda chargé du président camerounais à 90 ans passés. Ces dernières semaines, les rumeurs les plus folles circulaient à nouveau sur son état de santé, certaines sources évoquant une « disparition médiatique » qui en disait long sur son affaiblissement. Des intox manifestes au regard de ce déplacement surprise et énergique à travers le pays !
Un joyau hospitalier à proximité de Yaoundé
Sur place, Paul et Chantal Biya ont pu mesurer le chemin parcouru par cet hôpital d’exception, spécialisé dans la prise en charge des pathologies oculaires et créé en 2016 grâce à des investisseurs égyptiens. Le MICEI a en effet acquis en quelques années seulement une réputation de centre d’excellence régional, grâce à des équipements de pointe et un plateau médical de haut vol.
A tel point que de nombreuses personnalités d’Afrique Centrale, mais aussi des sportifs ou des artistes n’hésitent plus à faire le déplacement pour bénéficier de ses soins ophtalmologiques de référence. Signe de son fort développement, le MICEI ambitionne même d’ouvrir prochainement un second site hospitalier ultra-moderne à Douala.
C’est dire si sur le plan sanitaire, le Cameroun n’a pas à rougir face aux puissances internationales, comme l’ont constaté Paul et Chantal Biya. Pour le plus grand bonheur de la population, qui n’a désormais plus besoin de traverser les frontières pour disposer des meilleures infrastructures médicales !
