Dans un coup d’éclat diplomatique qui fera date, la United Bank for Africa (UBA) a transformé la 79e Assemblée générale des Nations Unies (UNGA79) en véritable sommet africain. Le 40e anniversaire de UBA Amérique et les 75 ans du groupe UBA ont servi de prétexte à une démonstration de force sans précédent du continent noir sur la scène internationale.
L’Afrique en force : un parterre de stars à New York
Le gratin de l’Afrique s’est donné rendez-vous à New York, comme le rapporte 237online.com. Du président ghanéen Nana Akufo-Addo au tout nouveau dirigeant gabonais Brice Oligui Nguema, en passant par l’homme le plus riche d’Afrique, Aliko Dangote, c’est un véritable « Who’s Who » du continent qui a répondu présent. Même la reine Maxima des Pays-Bas s’est jointe à cette célébration de l’excellence africaine !
Mais ce qui a vraiment fait vibrer la soirée, c’est la présence électrisante de stars comme Davido et Geneviève Nnaji. Imaginez un peu : des chefs d’État qui se déhanchent sur les tubes de Davido… On n’est pas près de revoir ça à l’ONU de sitôt !
Tony Elumelu : le visionnaire qui secoue l’establishment
Au cœur de ce tourbillon diplomatico-festif, un homme : Tony Elumelu. Le président du groupe UBA a transformé ce qui aurait pu être un simple cocktail en une véritable plateforme de « soft power » africain. Son message ? L’Afrique n’est plus le continent des problèmes, mais celui des solutions.
« Il existe une meilleure façon d’investir en Afrique pour un avenir durable qui crée de la valeur pour tous », a martelé Elumelu. Un discours qui tranche avec la rhétorique habituelle et qui a fait mouche auprès des décideurs présents.
L’entrepreneuriat jeune : le nouveau cri de guerre de l’Afrique
Mais Elumelu ne s’est pas contenté de belles paroles. Il a mis sur la table des propositions concrètes pour booster l’entrepreneuriat jeune, véritable obsession du banquier nigérian. « Nous devons donner la priorité et responsabiliser nos jeunes entrepreneurs car ils sont l’élément vital de nos régions », a-t-il déclaré lors d’une rencontre avec le Premier ministre jamaïcain.
Cette vision d’une Afrique entrepreneuriale et dynamique semble avoir séduit jusqu’à l’ancien président américain Bill Clinton, avec qui Elumelu a échangé sur les défis climatiques. Un sujet brûlant pour l’Afrique, qui cherche à concilier développement économique et protection de l’environnement.
UBA : bien plus qu’une banque, un catalyseur pour l’Afrique
L’événement UBA à l’UNGA79 a démontré que la banque est bien plus qu’une simple institution financière. Elle s’affirme comme un véritable catalyseur du développement africain. Des institutions comme UBA jouent un rôle crucial dans la transformation du continent.
En réunissant dirigeants politiques, entrepreneurs et stars, UBA a créé un espace unique où l’Afrique peut parler d’une seule voix. Une voix qui, pour une fois, n’est pas celle de la supplication, mais celle de l’ambition et de la confiance.
L’Afrique à la conquête du monde
Cette soirée UBA à New York n’était pas qu’une simple célébration. C’était une déclaration d’intention. L’Afrique est prête à prendre sa place sur la scène mondiale, non plus comme un acteur de second plan, mais comme un leader.
Des dirigeants comme Elumelu montrent la voie d’une Afrique qui ne demande plus l’aumône, mais qui propose des partenariats gagnant-gagnant. Une Afrique qui ne se contente plus de vendre ses matières premières, mais qui veut créer de la valeur ajoutée.
L’UNGA79 restera dans les annales comme le moment où l’Afrique a cessé de frapper à la porte pour entrer dans le salon. Elle s’est invitée à la table des grands, et avec style !