La ministre du contrôle supérieur de l’état, Rose Ngwari épouse Mbah Acha impliquée dans l’achat des terrains de l’ex-Regifercam

Rose Ngwari

Le diable se cache parfois où l’on ne saurait l’imaginer. Les camerounais pourront enfin comprendre l’acharnement inédit du CONSUPE contre le Cabinet Conseil ATOU qu’on croyait lié au seul fait de l’homme à la punk allias Ferdinand Ngoh Ngoh par Rapport à l’affaire PORTSEC.

Mais des révélations troublantes apparaissent aujourd’hui concernant Madame le Ministre du CONSUPE, Rose NGWARI épouse MBAH ACHA celle qui est supposée coincer Maitre ATOU se retrouve elle même coincée par les inspecteurs d’Etat;

En effet, comme un policier ripoux à qui l’on confie une enquête pour meurtre dans lequel il est impliqué, Madame MBAH ACHA a acquis par voie de prête-noms deux terrains situés au camps Lido à Douala Akwa de l’ex-REGIFERCAM. L’un de 1000 m2 au prix de 10.000.000 Fcfa au nom de son fils le Dr NJOH Roland FOKWEN qui réside aux États -Unis, l’autre de 1000 m2 au prix de 10.000.000 au nom de son frère, le nommé FOKWEN-ROCHER Henry Tangie importateur de brocantes.

Le problème c’est que Madame la ministre n’arrive pas à s’installer sur ces terrains acquis auprès d’Eyebe AYISSI le ministre des Domaines, du cadastre et des affaires foncières .

Plus grave, dans cette affaire qui vise l’accaparement par un gang au cœur de la République de près de 285 milliards fcfa. Malgré la suspension de signature que MBAH ACHA a signifié à Me Atou, on comprend moi pourquoi, Me Atou est quand même allé obtenir la prenotation des titres fonciers concernés, 821/wa et 818/wa. Du coup madame le CONSUPE est enragée contre le cabinet Atou. Car le pot aux roses est dévoilé.

MBAH ACHA veut en finir avec cet empêcheur de tourner en rond. Et les blocages de comptes, les suspensions de signature, et les interdictions de sortie du territoire, sans compter les communiqués radio presse qu’on lit partout au point d’occulter le gazon de manque à Japoma et OLEMBE.

Madame le Ministre est noyée dans l’actif résiduel de l’ex-REGIFERCAM. Tout comme le bon, Cyrus Ngoh, DG du port de Douala, le truand, Henry Eyebe Ayissi et la brute, l’homme à la punk.

BORIS BERTOLT

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