Cameroun: La société et la jeunesse face aux Dangers de la Por*nographie

Partout dans les écoles primaires, secondaires et universitaires, le dieu du s*e*xe s’est imposé comme étant la principale divinité à adorer. Les parents, qui ont longtemps été tolérants, sont désormais désarmés face à la déformation caractérielle qui s’est incrustée de manière indélébile dans la vie de leurs enfants. Les scandales s*e*xuels répétés qui ont lieu dans les écoles dites confessionnelles et dans tous les autres établissements publics et privés interpellent la société tout entière. Où serons-nous dans 10 ans lorsqu’on considère le degré de pourrissement actuel de notre jeunesse et du monde des adultes ? Pire encore, l’église n’est pas épargnée par l’invasion funeste de cette influence satanique, et bien des chrétiens cachent la terrible dépendance à la po*r*nographie qui a fait d’eux ses prisonniers.
Les terribles scandales qui ont affecté la ville de Bafoussam lors de l’année académique passée sont encore gravés dans nos esprits. Les 47 élèves exclus de leurs établissements pour cause de pratique de po*r*nographie et de consommation de drogue ont laissé une terrible marque dans le monde de l’éducation. Selon le reporter d’un journal de la place, douze d’entre eux avaient été pris en flagrant délit dans une chambre. Tous étaient nus, et s’étaient adonnés à de terribles séances d’orgies s*e*xuelles. Six garçons, six filles. Des adolescents âgés entre douze et quinze ans environ. 23 films X se trouvaient dans cette chambre, avec une certaine quantité de drogue. Imaginez-vous ces enfants, à ce niveau de leur vie, déjà détruits et programmés pour être des ordures ambulantes, si rien n’est fait pour leur venir en aide.
Nous nous souvenons que quelques temps avant cela, pendant la même année scolaire, 17 autres élèves avaient été expulsés à jamais d’un célèbre établissement confessionnel de la ville de Yaoundé pour consommation de drogue et autres délits. Toutes ces choses ne représentent que le pic d’un gigantesque iceberg qu’on ferait mieux de détruire le plus vite possible.
Il y a justes quelques semaines, 26 élèves ont été surpris en train de tourner un film po*r*nographique dans une chambre quelque part dans la région de l’ouest. Ils avaient installé 4 caméras à différents angles de la pièce pour pouvoir filmer toute la terrible partouze dans laquelle ils s’étaient livrés. 26 élèves, et autant de vies détruites dès la base… De nombreux journaux ont fait étalage de ce nouveau scandale s*e*xuel.
Et l’Eglise dans tout cela ?
Et l’Eglise dans tout cela ? Quel est son message et quelles solutions pense-t-elle apporter à tous ces chrétiens qui sont prisonniers de la po*r*nographie ? Des pasteurs, anciens, diacres, fidèles simples et autres témoignent avoir un problème avec la po*r*nographie qu’ils ne parviennent pas à abandonner. Cette puissance démoniaque les tient prisonniers à un niveau incroyable, et bien des personnes qui me lisent en ce moment reconnaissent qu’elles souffrent, et ne parviennent pas à briser la puissance de ce démon qui les retient captives. Dans le monde catholique Romain, la chose est pire. Les scandales des prêtres pédophiles tirent leur origine de la terrible dépendance de nombreux prêtres à la po*r*nographie.
Quelle est la réponse des églises pentecôtistes et celles dites de réveil, face à ce déferlement d’images destructrices qui affectent beaucoup d’enfants de croyants qui sont très souvent exposés à la perversion dans leur environnement scolaire et ailleurs ?
Voici de nombreux témoignages qui nous aideront à comprendre les drames qui se passent parfois chez nos voisins les plus proches, ET TRES SOUVENT MEME CHEZ NOUS. Ces récits sont tellement récurrents que l’on devrait prendre conscience du fait que le danger est réel.
Une mère découvre la perversion dans la vie de sa fille
Les regards de Régine, enseignante dans une école de la place se portèrent sur la petite Marthe. Cette enfant, âgée d’à peine quatre ans, avait donné depuis quelques temps des signes qui semblaient indiquer qu’elle faisait des choses de manière précoce. Ses propos, gestes et paroles montraient clairement qu’elle était sous une influence qui perturbait sa croissance normale et affectait négativement son caractère.
Après mûre réflexion, Régine décida d’en parler à la mère de l’enfant. Cette dame parut surprise. Elle décida d’avoir un regard plus circonspect sur sa fille. Très tôt les soupçons de Régine se confirmèrent. Une nuit, alors que les enfants étaient en train de regarder un programme à la télévision, elle entendit sa fille qui n’était qu’à la maternelle, dire aux autres enfants :
Moi je n’aime pas quand les femmes font çà entre elles. J’aime quand elles le font avec les hommes !
Lorsque la mère de cette fillette entendit cela, elle fut brisée. Sa petite perle, était déjà devenue une enfant dont la conscience avait été souillée par la dépravation. Combien de films de ce genre avait-elle déjà regardés ? Jusqu’où était-elle déjà allée, et si sa maitresse ne s’en était pas rendu compte que se serait-il passé ?… Toutes ces questions passaient et repassaient dans sa tête.
De nombreux enfants ont la destinée détruite à cause de la négligence de leurs parents qui ne veillent pas assez sur eux. Même les détails les plus élémentaires de la vie leur sont totalement inconnus. Et ce sont malheureusement ces parents qui mettent au monde, des enfants délinquants et parasites qui sont un poids pour le pays.
[b]Voici le cas dramatique, qui est arrivé la famille OLOUA.[/b]
Apres un rapport incestueux, il se donne la mort
Dans la famille OLOUA, les parents et les enfants étaient assez libertins. A la maison, les films immoraux étaient visionnés par tout le monde, sans que cela n’émeuve personne. D’ailleurs, la télévision était en marche au salon pendant presque toute la journée. Violence, s*e*xe, danses immorales et grossières, po*r*nographie n’étaient étrangers à personne. C’est dans cette ambiance que la semence du drame qui allait frapper cette famille allait se développer.
Une nuit, Martine se déshabilla et alla toute nue, se coucher sur son lit. Elle veilla à ce que son frère qui allait passer par là se rende bien compte de l’état dans lequel elle était. La nuit fatale continuait à évoluer et quand Laurent passa par là pour aller vers les toilettes, ses regards furent attirés vers la chambre de sa sœur, et ce qu’il y vit allait faire basculer sa vie dans la voie de la perdition totale. Après quelques moments d’hésitation, il se tourna et alla vers elle. La suite fut tragique. Ils eurent un rapport s*e*xuel incestueux.
Cet épisode apporta un tel déséquilibre dans la vie du jeune homme, qu’il perdit le goût de vivre. Alors, de manière froide, Laurent décida de se donner la mort. Il prit une corde, et alla l’attacher à un arbre. Ensuite, il introduisit le nœud qu’il avait fait autour de son cou et se laissa basculer dans le vide. Quelques instants plus tard, la mort s’était emparée de lui, et le terrible drame allait secouer toute la famille et ses connaissances.
Le jour de son enterrement, les gens étaient toujours dans l’incompréhension la plus totale. Pourquoi un jeune homme aussi plein de vie avait-il décidé de se donner la mort d’une façon aussi brutale et barbare ? Qu’est-ce qui avait pu pousser Laurent à commettre l’irréparable et à laisser sa famille dans la douleur, la honte et la confusion ?
Le corps était toujours là et l’heure de l’enterrement se rapprochait. Alors sa sœur fut soudain prise d’une crise de remords. Ses pleurs se firent plus stridents et dans ses lamentations elle demanda au « mort » :
[b]Laurent, c’est seulement à cause de çà que tu t’es donné la mort ?[/b]
Stupéfaits, les uns et les autres se regardèrent. A cause de çà ? Que voulait-elle dire par là ? Selon les circonstances, il semblait que bientôt, le voile qui entourait les circonstances du suicide de feu Laurent allait être levé. Des questions fusant de partout lui furent adressées… Puis, telle une personne qui portait un lourd fardeau dont elle voulait se décharger, elle se mit à parler et à confesser l’acte ignoble et infâme auquel elle et son frère s’étaient livrés. La consternation fut totale. Les cris exprimant une douleur extrême jaillirent de l’assemblée. On se souviendra encore longtemps de ce jour-là dans la famille OLOUA.
Il faudra relever que les germes de ce qui s’était passé dans la famille attristée avaient pris le temps de s’enraciner dans le cœur des deux enfants qui furent les acteurs de tous ces drames. Les parents avaient laissé les choses se passer et pourrir dans la famille. La discipline n’y avait pas été rigoureuse. D’ailleurs, elle y avait été presque absente. La déformation du caractère des enfants de cette famille avait été nourrie par l’inconscience de leurs parents. Les regrets qu’ils auront toute leur vie ne s’effaceront jamais. Toutes les fois qu’ils avaient laissé leurs enfants voir ces films et danses immoraux, chaque fois qu’ils avaient laissé leurs enfants sortir et renter tard sans rien leur dire… ils avaient inconsciemment préparé ce drame.
Qu’il est si lointain le temps où les jeunes avaient dans leur environnement immédiat, dans la famille, à l’école, à l’église, dans le voisinage, des modèles qui allaient les aider à devenir des personnes de distinction dans la société.
Nos jeunes n’ont pas besoin de toute cette perversion qui détruit les jeunes partout dans le monde. Ils n’ont pas besoin de regarder toute la po*r*nographie musicale diabolique, « interdite au moins de 16 ans » que diffuse la chaine de télévision Boom TV chaque nuit, au mépris de toutes les institutions qui sont sensées assainir le monde de l’information, de la culture et de l’éducation au Cameroun. Cher lecteur, la po*r*nographie, c’est le satanisme, la culture du diable, l’adoration de Lucifer et de ses démons, le monde des illuminati… Elle finit toujours par nous nuire.
Selon des recherches faites par diverses personnes qualifiées, tôt ou tard on reçoit une rétribution qui se manifeste sous les formes suivantes :
L’incapacité à garder des relations saines dans le foyer
L’ouverture de sa vie à des démons qui vont la contrôler
Le dictat des esprits qui vont vous empêcher d’avoir un mariage heureux, en détruisant vos rapports s*e*xuels et votre intimité
L’addiction à la po*r*nographie dans ses formes les plus perverses
L’existence devenant incontrôlable
La rencontre très possible avec des démons qui vous plongeront dans les profondeurs de l’occultisme (les crimes rituels de Mimboman et ceux pratiqués dans des maisons et des hôtels de la place)…
Prisonnier de la po*r*nographie

[b]Il y a quelques années, j’avais reçu un appel d’un individu qui était éprouvé. Il me dit :[/b]
—Pasteur, j’avais souvent entendu dire que certaines personnes étaient possédées par des démons… Je vis une situation difficile. Je suis accro à la po*r*nographie. Parfois le désir est si fort que je prends un conducteur de moto en course pour aller chercher à acheter des films phonographiques. Quand je n’en trouve pas, je propose de payer plus pour qu’on aille en chercher plus loin. J’ai pourtant une copine. Je vous ai suivi à la radio… Pasteur, beaucoup de personnes vous écoutent… Je vais chercher à vous rencontrer…
Lorsqu’il m’a rencontré, j’ai vu un jeune homme qui était lessivé. Il m’a raconté son histoire.
Très tôt dans la vie, il avait entretenu une relation incestueuse qui a duré un an avec sa tante qui était une fanatique de la po*r*nographie. Il était âgé de 9 ans alors qu’elle en avait 18 environ. Vivant dans la même maison, ils regardaient des films po*r*nographiques et passaient à l’action plus tard. PENDANT UN AN, ILS ONT VECU DANS L’INCESTE.
Il a ensuite eu une expérience homos*e*xuelle dans laquelle l’avait amené un des ses oncles. C’étaient des embrassades, des attouchements… Les démons l’avaient tellement oppressé que sa vie était devenue infernale. Il pleurait constamment. Le pire était qu’un s*e*xe invisible le pénétrait souvent, sans qu’il ne voie à qui il appartenait. Il sentait simplement cette terrible pénétration mais ne pouvait rien faire pour l’empêcher… Heureusement pour lui, il a pu trouver cette aide qu’il recherchait si désespérément. Beaucoup de ceux qui lisent cet article sont devenus des esclaves d’une force de dépravation s*e*xuelle qui les asservit. Ils sont allés tellement bas qu’ils se demandent s’il est encore possible pour eux d’en ressortir. La honte, la peur que leur perversion soit découverte les hantent… Mais il y a espoir dans l’évangile du Christ qui apporte guérison et libération.
Nous devrions toujours garder en tête ces pensées d’Alexandre Soljenitsyne : «[i]ON ASSERVIT LES PEUPLES PLUS FACILEMENT AVEC LA PORNOGRAPHIE QU’AVEC DES MIRADORS.[/i] »

[b]Pasteur Alexis GODONOU[/b]
[b][email protected][/b]

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