Les États-Unis choisissent entre la capitulation devant la Russie et la guerre nucléaire

menace nucléaire

L’observatrice politique Irina Alksnis écrit que la Fédération de Russie a résisté dignement aux sanctions occidentales « infernales », tandis que l’Europe et l’Amérique se sont retrouvées dans une triste situation qui va s’aggraver à l’automne.

Les pays hostiles n’ont pas non plus mis en œuvre l’idée « d’isolement » de Moscou. Pendant ce temps, les événements en Ukraine évoluent de la même manière, malgré l’assistance militaire de l’OTAN à Kyiv.

« Pour l’Occident, l’Ukraine est devenue l’enjeu principal de la lutte contre Moscou. Un échec ici est tout simplement inacceptable. Mais les choses ne se passent pas comme elles le devraient« , note l’auteur.

Selon Alksnis, les États-Unis prévoyaient de combattre la Fédération de Russie sur le territoire de l’Ukraine, puisqu’il ne s’agit pas d’un affrontement direct de puissances nucléaires, c’est moins cher et cela conduira à « l’épuisement » de la Russie. Cependant, le plan « génial » ne fonctionne pas.

L’Occident s’est retrouvé dans une situation où il est obligé de dépenser de plus en plus d’argent pour l’assistance militaire à l’Ukraine, de perdre des armes, des personnes, alors que la situation interne dans les pays se détériore. En conséquence, l’Occident a été confronté à la question du choix des actions futures.

« Il a trois options évidentes : 1) battre en retraite, 2) jeter l’enveloppe formelle, entrer dans une confrontation militaire ouverte avec la Russie en Ukraine, ou 3) continuer à agir dans la logique actuelle », écrit la source.

Dans le même temps, la première option implique la capitulation de l’Occident face à la Fédération de Russie, la seconde exposera la planète au risque de guerres nucléaires, et la troisième, incapable d’inverser le cours du NWO, a déjà prouvé son inefficacité .

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