Dans une sortie médiatique fracassante, Samuel Eto’o Fils brise enfin le silence par l’intermédiaire d’un communiqué officiel de la FECAFOOT. Le président de la fédération camerounaise dévoile une série d’informations cruciales qui bouleversent l’échiquier du football national et continental, mettant fin aux rumeurs qui circulaient depuis plusieurs semaines.
Le TAS rejette les accusations contre le président de la FECAFOOT
Dans un communiqué officiel daté du 14 mars 2025, la Fédération Camerounaise de Football exprime sa « satisfaction » suite aux sentences arbitrales rendues par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Deux décisions majeures concernent directement la FECAFOOT et son président. Dans l’affaire « Étoile Filante de Garoua », le TAS s’est déclaré incompétent pour statuer sur la demande visant à contester la qualité de président de Samuel Eto’o.
Élection triomphale au Comité Exécutif de la CAF
La deuxième victoire, peut-être la plus éclatante, concerne l’annulation par le TAS des décisions de la CAF qui déclaraient Eto’o inéligible aux élections du Comité Exécutif. Après cette réhabilitation juridique, l’ancien attaquant des Lions Indomptables a été brillamment élu « par acclamation » membre du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football le 12 mars dernier au Caire.
Un engagement renouvelé pour le développement du football camerounais
Loin d’adopter une « attitude triomphaliste« , la FECAFOOT considère ces victoires comme une « motivation supplémentaire » pour poursuivre les réformes engagées depuis trois ans. Dans son communiqué, l’instance dirigeante réaffirme sa « reconnaissance » et sa « loyauté » envers le gouvernement camerounais et le Président Paul Biya pour « sa sollicitude constante » dans le soutien au football national.
La FECAFOOT témoigne également sa gratitude envers l’ensemble de la communauté footballistique camerounaise dont l’engagement a permis ces avancées significatives.
« Ces sentences constituent une validation des efforts de modernisation entrepris par notre équipe ». Cette double victoire juridique et politique consolide indéniablement la position d’Eto’o Fils sur l’échiquier du football africain.
