Au sein de la communauté Bangou de Douala, une mascarade électorale se déroule, soulevant de nombreuses questions sur les motivations et les bénéficiaires de cette situation confuse.
Un processus électoral douteux
Le CGA, dont le mandat a expiré depuis le 21 avril 2021, cherche à organiser l’élection d’un chef intérimaire pour la communauté Bangou de Douala le 9 mai 2023. Cette décision soulève des inquiétudes quant à la légitimité du processus électoral et des statuts amendés de 2017, dont la diffusion a été retardée jusqu’à aujourd’hui.
Des questions sur le collège électoral
La situation actuelle pose également des questions sur la composition du collège électoral et l’identité des électeurs. En effet, aucun membre de la communauté Bangou de Douala ne possède de mandat valide, plongeant la communauté dans l’anarchie depuis le 21 avril 2021.
Un appel à la transparence et à la participation
Les membres de la communauté Bangou de Douala exigent que toutes les forces vives soient conviées au débat et non pas seulement une poignée de personnes dont le mandat est caduc. La transparence et la participation de tous les acteurs concernés sont essentielles pour garantir la légitimité de cette élection et pour éviter que des usurpateurs ne s’imposent à la tête de la communauté.
Une situation qui nécessite une résolution rapide
Il est crucial de résoudre cette situation confuse au sein de la communauté Bangou de Douala pour assurer la stabilité et le développement de la communauté. Les responsables doivent s’efforcer de mettre en place un processus électoral transparent et inclusif, qui permettra d’élire un chef intérimaire légitime et respecté par l’ensemble de la communauté.
La situation actuelle au sein de la communauté Bangou de Douala appelle à une résolution rapide et transparente, afin de garantir la légitimité du futur chef intérimaire et d’éviter les tensions et les divisions au sein de la communauté. Seule une élection transparente et inclusive permettra de préserver l’unité et la cohésion de la communauté Bangou de Douala.