237online.com

L'ouverture sur le Cameroun

Douala : Scandale à New Bell après un vol d’organe génital ! [EXCLUSIF]

Voleur lynche

À Douala, un phénomène glaçant de vols d’organes génitaux, appelés « bangala« , vient de prendre une tournure dramatique au marché de New Bell. Un ressortissant béninois a été lynché par la foule après la disparition mystérieuse du pénis d’un call-boxeur qu’il venait de toucher, plongeant le quartier dans l’effroi.

L’incroyable s’est produit cet après-midi dans l’effervescence du marché aux chèvres de New Bell à Douala. Un call-boxeur, abordé par un individu se présentant comme client, a vu son organe génital disparaître instantanément après un simple contact. « La seconde suivante, le commerçant la main dans son caleçon ne retrouvait plus ses bijoux de famille volatilisés mystérieusement !« , relate un témoin. Sous le choc, la victime a poussé des cris stridents, alertant la foule. La traque a été impitoyable : « Remets le bangala ! Remets ça là ! », hurlaient les habitants en pourchassant le suspect présumé, un ressortissant béninois, avant de lui « mettre les gourdins dessus ».

Arrestation et aveux glaçants ► Que dit la police ?

Face à la vindicte populaire, l’homme interpellé a livré une déclaration terrifiante : « Son bangala est déjà chez mon grand maître mais je peux quand même lui donner un autre bangala pour qu’il ne reste pas sans pisser. » Ces propos, évoquant des pratiques occultes et un transfert rapide de l’organe volé, ont amplifié la panique. Les forces de l’ordre sont finalement intervenues pour mettre fin au lynchage et interpeller le suspect. Cet incident violent met en lumière la peur grandissante face à ces vols inexplicables rapportés dans plusieurs villes camerounaises, suscitant colère et incompréhension.

Les autorités sanitaires et policières sont désormais sous pression pour éclaircir ce phénomène troublant et rassurer une population en proie à la terreur. Comment lutter contre ces agressions mystérieuses et leurs conséquences dramatiques ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *