Le premier casting de 20 candidates dont deux par région est prévu le 25 mars prochain à Yaoundé.
Qui portera le diadème de l’unité nationale du cette Cameroun année? Les activités relatives à la succession de Paule Atok à Atok, première miss unité nationale 2015 ont démarré avant-hier à Yaoundé à travers une conférence de presse. Il était question pour le comité d’organisation conduit par Nestor Owono Owono de situer le jeu et les enjeux de la deuxième édition. Comme l’année précédente, le comité prévoit une sélection rigoureuse des jeunes filles venant du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest.
Lire aussi: Paule Francisque Atok à Atok, Miss Unité nationale du Cameroun 2015 destituée
La compétition à ce concours oppose les candidates, âgées entre 17 et 28 ans, d’une taille moyenne de 1m70. Elles doivent en dehors de ces critères avoir un bagage intellectuel supérieur ou égal au baccalauréat. Bien plus, maîtriser l’anglais et le français, les deux langues parlées au Cameroun. Selon le contexte de la tenue de ce concours, la miss Unité nationale Cameroun doit son existence à la célébration de la fête de l’unité nationale, symbole des combats, sacrifices des bâtisseurs de la nation et des valeurs d’unité qui tournent autour de la diversité ethnique, traditionnelle. Le chronogramme de ce grand concours prévoit deux castings. 237online.com L’un le 25 mars 2016 avec une sélection de 20 candidates dont deux par région. Et un second, le 21 avril où seules 10 candidates seront retenues pour la finale prévue sur le 14 mai sur le site touristique Eco Park à Yaoundé. Le nom de la miss sera dévoilé au cours d’une soirée faste en présence des officiels dont les membres des ministères des Arts et de la Culture et de l’Enseignement supérieur. Bien avant la phase finale, il est prévu une soirée culturelle avec les annonceurs et partenaires de l’événement. Par la même occasion, les finalistes vont présenter au public les mets de leurs régions respectives. Pour une large diffusion, les correspondances sont adressées aux 10 gouverneurs de régions.
Christelle Belibi
