Dans une révélation explosive, le Réseau National des Consommateurs du Cameroun (RNC) vient de jeter un pavé dans la mare sanitaire du pays. Francis Hervé Eyalla Saba, président exécutif du RNC, accuse sans détour le ministre de la Santé, Dr Manaouda Malachie, d’être un pion dans le jeu macabre des lobbies pharmaceutiques mondiaux.
Cette déclaration choc, relayée en exclusivité par 237online.com, soulève des questions troublantes sur l’intégrité de notre système de santé.
Un ministre sourd aux cris d’alarme ?
Selon le RNC, le Dr Malachie ferait preuve d’une « cécité et surdité » alarmante face aux nombreuses alertes concernant la COVID-19. Le ministre semble ignorer délibérément les voix dissidentes, tant nationales qu’internationales, qui remettent en question la narrative officielle sur la pandémie.
La santé des Camerounais bradée au plus offrant ?
Le RNC va plus loin en suggérant que le ministre pourrait avoir une « mission secrète » visant à porter atteinte à la santé des Camerounais. Une accusation grave qui, si elle s’avérait fondée, pourrait ébranler les fondements mêmes de notre système de santé.
Un appel à la vigilance citoyenne
Face à ce qu’il qualifie de « mur de monologue » imposé par le ministère, le RNC exhorte les Camerounais à redoubler de vigilance. Il rappelle que la santé collective est l’affaire de tous et que chacun doit être prêt à défendre son bien-être sanitaire.
Le spectre d’une justice à venir
Dans un avertissement à peine voilé, le RNC se déclare « partie civile » et rappelle au ministre qu’il pourrait un jour devoir répondre personnellement de ses décisions devant la justice.
Un appel au Président de la République
Le RNC n’hésite pas à interpeller directement le Président Paul Biya, l’alertant sur le danger que représente ce « suivisme aveugle » pour son image de sage et pour la santé des Camerounais.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur la gestion de notre santé publique. Le ministre Malachie est-il vraiment le gardien de notre santé ou le fossoyeur de notre bien-être ? Seul l’avenir nous le dira, mais une chose est sûre : les Camerounais méritent des réponses.
