Assassinats macabres dans le Nord-Ouest/Sud-Ouest : Silence coupable et complice de Human Rights Watch, Amnesty International et des medias internationaux

On croyait avoir tout vu avec les terroristes qui sèment le désarroi dans les Régions du Nord – Ouest et du Sud – Ouest. Que non !

Dans une folie meurtrière jamais encore égalée, ces pseudo – sécessionnistes assassinent, massacrent, éventrent, mutilent, étêtent, violent et diffusent désormais en direct leurs exploits sanguinolents et macabres d’un autre âge sur les réseaux sociaux.

Zombifiés aux stupéfiants, endoctrinés et quasi lobotomisés, ces terroristes lampistes de bas étage, actionnés par des donneurs d’ordre tapis à l’étranger, ont récemment enlevé une famille de quatre personnes, dont le nommé Tantiyo, fils d’Alhadji Isa et de Korga. Après avoir subi d’effroyables tortures, le père et sa seconde épouse ont été libérés. Ils sont handicapés à ce jour. Agée de 69 ans, Korga, la mère et Tantiyo son fils, ont été torturés à mort. Le mobile de ce cruel acharnement contre de paisibles éleveurs de la tribu Mbororo demeure à ce jour inconnu.
La vidéo macabre de la mise à mort du Sieur Tantiyo par ses bourreaux a été mise en ligne et célébrée par ceux-là mêmes que Human Rights Watch, Amnesty
International et les médias internationaux devraient dénoncer de façon véhémente. Il est en effet incompréhensible que ces organisations et médias, usant de leur aura, ne mentionnent ni ne condamnent explicitement ces actes barbares, diffusés à profusion, signés et revendiqués par leurs
auteurs.

A se demander si la morale humaine ne comptait que pour peu devant les ambitions politico-mercantilistes de certains, les autres devant en être redevables ? Sinon, sur quel autel ces hommes, femmes, enfants, et vieillards sont-ils sacrifiés, pour que leur sort mérite une si grande indifférence ?

Dans le cas présent comme dans d’autres cas antérieurs, le silence, la cécité et l’amnésie dont font montre Human Rights Watch, Amnesty International et les médias internationaux, par ailleurs pressés de porter à chaque fois au passif de l’Etat camerounais, des exactions imaginaires colportées à
dessein, deviennent ici, près de trois semaines après les faits, lourds de sens et assimilables si ce n’est à de la complicité, du moins à une tacite approbation, voire à une carte blanche donnée aux terroristes pour poursuivre leurs basses besognes.

Quoiqu’il en soit, pareille attitude compromissoire ne peut qu’éroder le crédit que l’opinion camerounaise avisée accordait encore à ces organismes dits non gouvernementaux, ainsi que les médias internationaux aux ordres de commanditaires occultes mais pas aussi cachés qu’ils le croient.

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