Une analyse juridique explosive vient ébranler les certitudes dans l’affaire du leadership du PCRN. Le Dr Jason Bigong, PhD en droit, démontre dans une démonstration implacable pourquoi Cabral Libii n’est plus légalement président du parti.
Une décision de justice aux effets limités
La décision de la Cour d’Appel de Maroua n’a pas la portée que lui prête Cabral Libii. Elle ne concerne que le congrès de Maroua et n’interdit pas définitivement à Robert Kona de se prévaloir de la présidence du parti.
Le coup de maître de Robert Kona
L’enquête de 237online.com révèle la stratégie juridique brillante de Kona :
- Organisation d’un nouveau congrès à Kaélé
- Validation par le MINAT
- Absence de contestation juridique
- Reconnaissance institutionnelle effective
- Conformité aux procédures légales
Des conséquences juridiques dévastatrices pour Libii
Le véritable coup de théâtre réside dans les implications légales :
- Effet relatif des décisions de justice
- Validité du congrès de Kaélé
- Reconnaissance du MINAT
- Absence de base légale pour Libii
- Nécessité de nouvelles actions en justice
Cette analyse juridique démontre que Cabral Libii, malgré sa popularité médiatique, ne dispose plus d’aucune base légale pour revendiquer la présidence du PCRN. Sans annulation du congrès de Kaélé, Robert Kona reste le président légitime du parti.