Oeuvres sociales de Chantal Biya : l’éducation des enfants, un combat au long cours

Chantal Biya et élèves

Après avoir évoqué son rôle dans la fondation éponyme et sa mobilisation sans faille contre le fléau du SIDA, revenons dans cet épisode 3 sur un autre des combats de longue date de la Première Dame du Cameroun : l’accès à une éducation de qualité pour les plus jeunes, en particulier dans les zones rurales.

Par le biais de partenariats noués avec des associations ou entreprises partageant ses convictions, Chantal Biya a financé la construction à travers le Cameroun de pas moins de 10 écoles primaires à cycle complet, une par an depuis 2000 ! De Dimako à Bamenda en passant par Bangangté, ces établissements rétrocédés à l’Etat maillent désormais une grande partie du territoire.

Outre ces infrastructures rendant l’enseignement accessible au plus grand nombre, la présidente de la Fondation éponyme multiplie les initiatives pour améliorer les conditions d’étude : don de matériels scolaires et informatiques, soutien à la formation continue des instituteurs, etc. Ses écoles sont d’ailleurs amenées à devenir de véritables centres de prévention et de sensibilisation sur des fléaux sociaux comme le VIH.

Mais l’accomplissement qui tient peut-être le plus à cœur à cette mère de famille dévouée reste l’école maternelle et primaire « Les Coccinelles« , qu’elle a fondée et suit au quotidien. Située au Palais de l’Unité même, ce symbole de la République camerounaise, cette structure éducative est l’incarnation de l’engagement indéfectible de Chantal Biya pour l’instruction et l’épanouissement de la petite enfance.

« Je continuerai le combat jusqu’à ce que tous les enfants du Cameroun aient accès à une éducation digne de ce nom, gage de leur émancipation future« , assure-t-elle. Et quand on connaît la ténacité de cette Première Dame dans ses combats, nul doute que de nombreuses autres écoles sortiront de terre !

Par Norbert Ngassa pour 237online.com

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